"si vous ressentez l'envie profonde et durable de vous lancer, allez-y"
- Suis-je fait pour être entrepreneur ? Dis, Patrick, c'est quoi pour toi un entrepreneur ? Promis, je vous en parlerai dans un prochain post. Pour revenir à la question, essayez pour connaître la réponse. Donc, si vous ressentez l'envie profonde et durable de vous lancer, allez-y ! Par contre, si des expériences précédentes vous ont montré que vous étiez fait pour être patron comme moi pour devenir fonctionnaire, alors Stop.
- Est-ce le bon moment ? La même personne, avec le même projet, pourra réussir ou échouer selon les circonstances. Donc, choisissez le bon timing et réunissez au moins 3 conditions : une situation familiale équilibrée, des finances pour tenir au moins 1 an (2, c'est mieux) et un mental d'acier. Et si vous vous lancez parce que vous en avez marre de votre boulot ou que vous êtes licencié, attention danger. Idem si votre conjoint ne valide pas votre projet, n'est-ce pas Annie !
- Ai-je la bonne idée ? Pour ma part, je ne crois pas à l'idée géniale (c'est vrai que je n'ai pas d'affinité avec la technique), mais à l'amélioration de l'existant. Un exemple ? Juste à Temps . En 1990, alors que je travaillais dans le B to C, je me suis aperçu que des clients B to B utilisaient notre service inadapté à leurs besoins. Et j'ai créé ma boite pour y remédier. Tiens, un conseil au passage : entraînez-vous à expliquer votre projet à votre entourage et assurez-vous de leur compréhension. Et s'ils ne pigent pas en 3', revoyez votre copie.
je suis a la recherche de pret pour de la tresorerie je suis une societe dan lenvironnement tout particulierement dans les metaux ferreux et non ferreux merci de me contacter par mail
Je mettrais en avant le point 2 : un mental d'acier.
Dans pratiquement toutes les histoires, la phase de création est jalonnée de motifs de découragement : sortie d'un collaborateur, manque de moyens financiers, problème technique qu'on arrive pas à contourner, remise en cause de son business plan, sceptiques...
Mais tous ces éléments sont inévitables, voir nécessaires pour certains. Il est par exemple bon d'avoir des détracteurs... si tous le monde croit en votre projet, ça peut être louche. On dit parfois qu'il faut avoir au moins 10% de détracteurs parmi les personnes à qui le projet est présenté.
Le plus important c'est sans aucun doute de croire en ce qu'on fait, et surtout savoir se remettre en question.